PENIEL TABERNACLE

PENIEL TABERNACLE

Témoignage de Billy Paul

 

Billy Paul Branham, né en 1935 à Jeffersonville, Indiana, est le fils aîné du Révérend William Marion Branham. Il est celui qui a eu la relation la plus proche avec W. Branham et possède le plus grand témoignage de la vie et du ministère uniques de cet humble serviteur de Dieu.
Une petite partie de son témoignage est écrit dans cette brochure.

Introduction

Billy Paul Branham, le fils aîné du Révérend W. M. Branham, est né en 1935 à Jeffersonville, Indiana. Il a perdu sa mère et sa petite sœur bébé quand il avait 2 ans et une grande partie de ses premières années furent passées dans la pauvreté, et par suite, dans une grande dépression. Son père gagnait humblement sa vie comme poseur de lignes électriques pour le service public d’Indiana et en 1941, il épousa Méda BROY, la jeune fille qui avait pris soin de Billy depuis la mort de sa mère.

Des suites de cette souffrance précoce, entre lui et son père se fortifia un lien très proche et dès le début du ministère public de son père, il passa la grande partie de son temps dans les réunions de son père, vendant des livres et aidant dans les lignes de prière.

Il a été témoin de beaucoup de guérisons miraculeuses et de manifestations de la puissance de Dieu de nos jours. Il est celui qui a été en relation la plus proche avec W. Branham et révèle le plus grand témoignage de la vie et du ministère uniques de cet humble serviteur de Dieu.
Une petite partie de son témoignage est écrit dans les pages de ce livret et nous espérons qu’il apportera espoir et encouragement au lecteur.

« Car ce n’est pas en suivant des fables ingénieusement imaginées, que nous vous avons fait connaître la puissance et la venue de notre Seigneur Jésus-Christ, mais comme ayant été témoins oculaires de sa majesté. » 2 Pierre 1 : 16 –

Témoignages de Billy Paul

Il savait comment contrôler chaque situation

Bien sûr, je savais que mon père pouvait contrôler chaque situation. Mon petit garçon Paul, il n’est plus petit maintenant. Il a 2 gamins. L’autre en a trois. En fait, lui, les garçons et moi, et Lois revenions juste d’Arizona. Nous entrâmes dans ce petit restaurant pour manger, en Indiana. Ce petit restaurant modeste et bon marché n’avait que deux vieilles tables pour le petit déjeuner et chacune quatre vieux petits tabourets pour s’asseoir. Nous nous installâmes là avec papa, Lois et les garçons, et deux types entrèrent. C’étaient des gros bonshommes, énormes, grands, gros. Ils s’assirent là, tout près de nous. Vous savez ce que c’est dans ces petits restaurants de ce genre.

C’étaient des gens à la langue ordurière, comme je n’en avais jamais entendus de ma vie. Voilà qu’ils commencent à jurer et à user d’un langage vulgaire. Papa était là baissant la tête.

Je les ignorais du mieux que je pouvais, en continuant à manger.
Papa nous dit, à Lois et moi : « excusez-moi, je reviens. »
1 m 95, 75 kilos. Il s’avança pour les contrer, et je pensais, « Oh Seigneur, nous sommes morts ! »

Il tapa sur l’épaule  de ce type qui parlait mal.

Je pensais, « Voilà ! Nous ne pouvons rien faire.»

Et il dit, « Excusez-moi, Monsieur. »

Cet homme dit : « oui. »

Papa dit, « Je suis ici dans ce bistrot avec ma famille. Je suis un ministre. « Voici ma belle-fille, voici mon fils, voilà mes petits enfants. Vous avez autant droit que moi d’être ici. Mais je veux que vous sachiez que j’ai autant droit que vous d’être ici. Nous ne parlons pas comme cela chez nous. »

Je pensais « Nous sommes morts ! »

Il dit « Puis-je vous poser une question ? »

Le type dit, «Quoi ? »

Papa dit « Mettez-vous cette bonne nourriture dans cette bouche d’où sortent ces mots sales ?

« Nous sommes morts ! » Pensais-je.

Il dit, « quoi donc ? »

Papa le regardait droit dans les yeux et dit, « ainsi vous mettez cette nourriture si délicieuse dans cette bouche sale, d’où sortent des mots si sales ? »

Je pensais, « ça y est ! »

Il dit, « Tant que je suis ici, je ne veux plus vous entendre dire un seul de ces mots. »

Et il alla s’asseoir. L’homme ne dit plus rien. Il paya sa note et sortit.

Il savait toujours comment contrôler … Si cela avait été moi, je l’aurais étendu raide. Je veux dire quand le gars aurait compris que j’arrivais. Mais lui savait exactement comment faire.

Faites de votre mieux

Mon papa me dit, « Billy, j’aimerais que tu sois prédicateur. »Il ajouta, « si Dieu ne t’a pas appelé, tu ne peux pas l’être. Ne sois pas artificiel, tu dois être envoyé par Dieu, si tu ne peux être un prédicateur, sois médecin. » « Je ne pourrai jamais faire cela », pensais-je.
«Mais quoi que tu fasses, mon fils, fais de ton mieux – Mon fils, si tu dois être un flemmard, sois-en un bon, ne travaille pas un seul jour de ta vie. »

Les requins nageront là où tu te tiens

Je me souviens en Californie avec Florence Shekarian qui chantait ce chant – F. Branham nous dit qu’elle allait partir vers le Seigneur – Elle leva les mains et commença à chanter.
Environ un an plus tard, papa lui dit, « Florence, vous allez partir – Tenez-vous prête » Les gens dirent, « quand ? »
Il dit, « Je ne sais pas quand, mais elle va partir. J’ai vu qu’on lui faisait sa toilette mortuaire. Il dit, « Demas, je ne veux pas le lui dire » -
Demas dit, «oui, je veux que tu lui dises, frère Branham » -
Aussi, papa l’appela dans la chambre et lui dit, « s’il vous faut faire quelque chose pour être prête, faites-le, parce que Dieu vient vous prendre »-
Il nous avait raconté cela 4 ou 5 mois auparavant. Il lui téléphona à Phœnix à l’hôtel Ramada et le lui dit – Puis en Californie aux Hommes d’Affaire du Plein Evangile, et elle était en train de chanter ce chant, « Jésus, Jésus, Jésus ! » Et le Saint-Esprit descendit dans cette réunion tandis que mon père prêchait un puissant sermon.

Et tandis qu’il prêchait, se tenant sur l’estrade, le Saint-Esprit commença à se mouvoir. Et pendant ce temps, un frère se leva et dit, « ainsi dit le Seigneur, ma fille, tu ne mourras pas mais tu es guérie – tu ne mourras pas. »

Je ne comprenais pas. Après le service, tandis que nous descendions la rue, papa se tourna vers moi et dit, « qu’y a-t-il de faux, Paul ? »
Je dis, « papa, tu m’as toujours dit de respecter les langues, les interprétations et les prophéties. »
Il dit, « c’est vrai. »
Je dis, « tu nous as dit qu’elle allait mourir. »
Il dit, « c’est vrai. »
Je dis, « cet homme a dit : « Ainsi dit le Seigneur, elle ne va pas mourir. Tu n’as pas dit un mot. »
Il dit, « j’ai dit ce que Dieu m’a dit de dire – Mais ne respectes-tu pas toujours les langues et les interprétations. »
Je dis, « si. »
Et il dit, « Fils, est-ce parce que tu ne veux pas aller en Afrique avec moi ? »
Je dis, « non, tu as David. »
Il dit, « comment ? »
Je dis, « cela m’a troublé, papa » -
Il dit, « mon fils, où sommes-nous ? »
Je dis, « à Los Angeles. »
Il dit, «  sois plus précis que ça. »
Je ne savais pas ce qu’il était en train de me dire – « Aussi je regardai à l’entour et il y avait une enseigne sur le bâtiment, The May Company. »
Je dis, « nous sommes en face de The May Company et Reo Grand. »
Il dit, «  souviens-toi de ceci. Je pourrais ne pas être ici, mais tu ne seras pas un vieil homme quand les requins nageront là où tu te tiens aujourd’hui. Le même Dieu qui m’a dit de te parler de Florence, m’a dit de te dire cela aujourd’hui. »
Florence est partie dans la gloire, et je ne suis pas un vieil homme.
Donc si Dieu l’a pensé, Frère Branham l’a parlé. Je le crois, et cela est réglé. »


Billy Paul dans le fauteuil du dentiste

Le dentiste dit, «  puis-je vous poser une question ? »
Je dis, « bien sûr. »
Il dit, « n’ai-je jamais fait quelque chose pour vous blesser, Billy ? »
Je dis, « sauf pour faire ce que vous allez réparer. »
Il dit, « non je ne parle pas de ça. Nous sommes amis depuis longtemps. N’ai-je jamais fait quelque chose pour vous blesser ? »
Et il brandit ses grosses mains devant mes yeux, et quand il le fit il avait un livre du Prophète du vingtième siècle devant mes yeux.
Il dit, « pourquoi ne m’avez-vous jamais parlé de lui ? Nous avons parlé de voitures rapides, mais jamais vous ne m’avez parlé de lui ! »
Il aurait pu plomber toutes mes dents, j’étais pétrifié. Je ne pouvais rien dire. Je n’oublierai jamais ce qu’il m’a dit, frère Larry.
Il dit, «  si j’avais un père comme ça, je le raconterais au monde entier. »

Le livre de la Parole Parlée

Quelqu’un prit un livre, une fois, après qu’il fut sauvé. Il le porta à son patron. Vous savez comment vous aimez témoigner aux gens.
Il dit, « patron, je voudrais que vous lisiez ce livre. C’est plus important que ce que vous avez jamais lu. Dites-moi ce que vous en pensez. »
Donc il le lut. Quelques jours après il revint et dit, « ne me donnez plus jamais rien de ce genre ! »
  • « Pourquoi ? »
  • « Cet homme dont il est question dans ce livre m’a appelé vautour. »
  • « Eh bien, patron, l’homme de ce livre m’a appelé aigle. »

Les eaux se partagèrent et il traversa le pont

Quelqu’un dit, « Pourriez-vous croire que ce Message est le même aujourd’hui ? »
Je dis, « Oui bien sûr ! Je crois qu’il est aussi puissant aujourd’hui qu’au jour où il fut parlé.
Nous avons reçu l’autre jour une lettre d’un frère d’Afrique. Maintenant, vous pouvez le croire ou non. Je n’y étais pas, mais je le crois.»
Il emportait un paquet de livres au Kenya, je pense que c’était au Kenya, peu importe. »
« 200 miles à bicyclette pour aller à l’église. Et parfois ils n’empruntaient pas les rues. Mais ce message brûlait dans leur cœur. »
Ce petit frère avait ces livres, et il arriva à une rivière, et c’était la saison des pluies. L’eau était probablement bien au-dessus du pont. Pas moyen de traverser.
Il dit, « Seigneur, je dois porter ces livres à ces gens. » Et il y avait des gens qui attendaient depuis des jours que l’eau descende. Mais elle continuait à monter.
Il dit, « Seigneur, je sais qu’au-dessous de cette eau il y a un pont. Je crois que tu es le même Dieu aujourd’hui. » Elie a frappé les eaux et c’est arrivé. Maintenant où est le Dieu d’Elie aujourd’hui ? Ce n’est pas pour moi mais pour porter Ta Parole à mes gens.
Frère Joseph m’a envoyé ces livres pour les porter aux gens. Je le lui ai promis, je veux le faire. Seigneur fais le reste. »
Il enleva sa chemise. Il ôta son manteau (ceci est son témoignage) et il l’étendit sur l’eau, et l’eau fit « whoosh ! » Le pont était là. Il marcha dessus, prit ses livres et traversa. Les gens sur la berge le virent.
Quand il fut de l’autre côté, l’eau revint « whoosh ! » Ils agitaient leurs vêtements et autres choses. Lui s’enfonça tout simplement dans la jungle.

Il est primordial que vous le croyiez entièrement

Quelqu’un dit, « je ne comprends pas cela. »
Je dis, « vous n’avez pas à le comprendre, vous devez le croire. Vous devez le vivre. Vous devez lui obéir. »
Mon père, une fois, sortait de l’église. Et j’avais eu un moment difficile aussi et papa avait prêché la Demeure Future de l’Epouse. C’est bien simple, j’en étais loin. J’avais entendu cela une fois.
Je sortais du fond. Les gens se réjouissaient en louant Dieu.
Je dis, « Papa, c’était un message merveilleux. »
Il dit, « Merci Paul. As-tu compris ?
Oh ! J’allais le lui dire de façon si minable, ce que je fis enfin.
Je dis, « oui ! »
Combien d’entre vous connaissez mon père ? Combien l’ont vu ? Vous savez comment il est capable de vous regarder.
Il dit, « Paul »
  • Oui
Il dit, « As-tu compris ? »
Oh, ma foi était partie, frère Garcia.
J’ai dit, « Non ! Mais eux, oui ! »
Et il dit, « je peux les compter sur ma main ceux qui ont vraiment compris ce que j’ai dit. »
Alors, ma foi était à nouveau au plus bas. Nous montâmes en voiture pour le ramener chez lui.
Nous avancions dans l’allée, et il m’arrêta et dit, « Paul, arrête la voiture. »
  • Oui, d’accord.
Il dit, « Papa a blessé tes sentiments, n’est-ce pas ?
  • Oui !
  • A cause de ce que je t’ai dit, n’est-ce pas ?
  • Oui !
Il dit, « Paul »
J’aurais donné un million de dollars pour ne pas l’entendre.
  • « Paul, il n’est pas important que tu comprennes tout ce que dit papa, mais il est extrêmement important que tu croies tout ce qu’il dit. »
Je dis, « En fait, s’il y a quelque chose dans ce Message qu’on ne comprend pas, il faut dire : Dieu, c’est ton Prophète. Je ne comprends pas mais je le crois de toutes façons. »

Frère Branham dit, (ceci est la vérité) « quand je prêche, c’est parfois le contraire de ce que je crois que dit la Parole, mais je sais Qui me parle, et je sais ce qu’Il dit, et je le dis, et j’en ai la révélation tandis que je suis en train de le dire. »

Frère, si le Prophète peut le faire, nous le pouvons aussi.

Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement

J’aimerais raconter un témoignage qui a touché mon cœur. Il y avait un jeune homme assis sur le bas côté chaque soir. Il avait des armatures métalliques aux bras et des béquilles. Et un jour je lui avais parlé d’un homme que le Seigneur avait guéri au moment où j’avais vu frère Branham prier pour lui. Il était comme ce frère.

J’allais m’asseoir et tandis que le pasteur faisait un appel à l’autel, à une ligne de prière, je gagnai le bas côté. Et je pris la main de ce frère. Je murmurai un mot de prière et je l’entendis dire « merci Seigneur de m’avoir guéri. »

Après le service, il vint vers ma voiture alors que je partais. Il n’avait plus ses béquilles et était complètement guéri.
En vérité, c’est encore Hébreux 13/8. Amen ! Louez Son merveilleux Nom !

Frère Branham ne discutaillait pas

Je vois quelque chose que je n’aime pas. Ils s’assemblent et discutent. Je ne sais pas si Becky est ici ou non. Je suis sûr qu’elle est là. Mais Becky et moi et Joe allions nous disputer dans la maison. Fichtre ! Ce n’était pas paisible.
Nous disions, « Papa, Becky a fait ça. Sarah a mordu Joe. » Vous savez comment c’est. Papa disait : Que se passe t-il ? Il ne disait pas « Billy, tu as raison. Sarah, tu as raison. Becky, tu as raison. »
Il disait : « Allons dans la salle de séjour. Rassemblons-nous autour du guéridon. Posons nos mains les uns sur les autres et papa va prier pour vous. Il ne cherchait pas qui avait raison. Ce qu’il saisissait était  cet AMOUR PARFAIT. C’est tout simple.

Vous m’avez appelée sorcière

Aimez-vous entre vous. Joe, il n’est pas ici. Le voisin vint un jour. Il entra, et la voisine n’était pas chrétienne. Elle était folle. Elle n’était pas dérangée, elle était folle ! Elle dit, « Madame Branham, le Révérend Branham est-il ici ?
  • Oui, il est derrière, dans le bureau.
  • Voudriez-vous le chercher, s’il vous plait ?
  • Bien sûr, venez.
  • Salut, Mme May, dit Frère Branham.
  • Salut, frère Branham. Frère Branham, je veux vous poser une question.
  • Bien sûr !
  • M’avez-vous appelée sorcière ?
  • Papa dit, « Pardon ? »
Elle dit, « m’avez-vous appelée sorcière ? »
  • « Absolument pas, Madame May »
  • Joe m’a dit que vous l’aviez fait.
  • Papa dit, « mon petit Joseph a dit que je vous avais appelée sorcière ? »
  • Oui.
  • Maman, va le chercher !
Elle alla donc  chercher Joseph.
Papa dit, « Maintenant, Madame May, dites ce qu’il a dit. »
  • Joseph, tu étais là-bas l’autre jour et tu as dit que ton papa m’avait appelée sorcière.
  • Est-ce vrai ? Joseph, n’as-tu pas honte ? Tu sais très bien que je n’ai jamais fait une chose pareille.
  • Joseph répondit, « Quand tu prêchais, dimanche, tu as dit qu’une femme qui était habillée comme ça et qui se comportait comme ça n’était rien d’autre qu’une sorcière. »
Mon père : « Oui, Madame May, j’ai dit ça. »
Ainsi voyez-vous, nous sommes comme vous.

Je veux marcher où il a marché

Une femme vint chez lui, une fois. Elle dit : « puis-je voir votre papa ? »
Je répondis : « sœur, il n’est pas ici. »
Elle dit : « je suis mourante. Bon d’accord, pouvez-vous m’emmener à son église ? »
  • Bien sûr !
  • Si vous me laissez seulement marcher et mettre mes pieds où il a marché, je serai guérie !

Multitude de guérisons

Les guérisons que j’ai vues, je pourrais vous en parler toute la nuit. J’ai vu des gens avec des goitres comme ça, bombés comme ça ! Ils pendaient, vous les aviez vus précédemment, frère Hughes… Ils pendaient comme ça !
J’ai vu des cancers comme ça, arborés sur le visage des gens. Il s’en approchait, comme pour frère McConda, et  les touchait comme ça, et ils tombaient et roulaient sur le sol.
Vous êtes envoyé pour prier pour les malades… Ecoutez bien ceci « l’ange m’a dit, si tu peux amener les gens à croire… amener les gens à TE croire ! Rien ne résistera à ta prière, pas même le cancer. »
Mais ils devaient le croire d’abord.  Vous devez croire ceci d’abord…

Il avait perdu sa valise

Un jour il perdit sa valise à Shreveport, frère Pearry.
Je dis « qu’est-ce qui va se passer si nous ne la retrouvons pas ?
Les gens disaient : « si des ivrognes la trouvent, vous ne la retrouverez plus. »
  • Si, je la veux, parce que je n’ai qu’une seule valise.
  • Mais si d’autres personnes la trouvent, ils la vendront.
  • Mais, Dieu a une valise.
Et le lendemain voilà qu’un homme arrive et dit : « j’ai trouvé votre valise, frère Branham, et je vous la rapporte. »
Pourquoi ? Parce que Dieu a appelé un Prophète pour nous apporter la Parole.

Billy Paul voit l’Ange du Seigneur

Mon papa me dit : « j’ai besoin que tu travailles avec moi. » Je partis voyager avec mon père quand j’avais 14 ans, mais avant, j’avais environ 9 ans.
Je sais que vous avez entendu ce témoignage, mais chaque fois que je le donne, quelqu’un vient et me dit : « voudriez-vous le raconter à nouveau ? » Aussi je suis heureux de le raconter une nouvelle fois.
Nous étions dans un petit hôtel bon marché, à Vandalia, Illinois. Papa avait une tente et il y prêchait. Je portais un petit tablier et travaillais avec son frère Donny. Nous vendions trois petits livres intitulés : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. », « Je n’ai pas désobéi à la Vision Céleste» et « La Guérison Divine dans les campagnes de Frère Branham. »
J’ai mis ce tablier à poche pour les clous, les 25 centimes et les 50 centimes, et je me croyais quelqu’un, et je traversais la tente et je les vendais.
Mon oncle Donny me parlait toujours de l’ange du Seigneur. Alors un soir, dans cette chambre d’hôtel, qui n’était même pas de niveau, qui n’avait pas de salle de bain, seulement un petit lavabo dans le coin. La salle de bain était en bas au bout du couloir. Donny était couché là, moi aussi et mon  papa était ici.
Papa m’éveilla à environ 2 heures du matin. Il tenait un oreiller devant mon visage. Il dit : « Billy. » Je répondis : « oui. »
  • Tu connais cet ange dont papa te parle ?
  • Oui.
  • Il m’a visité cette nuit. Il m’a dit des choses qui vont arriver. Je lui ai demandé, « avant que vous ne partiez, pourrais-je réveiller mon frère et mon fils pour qu’ils vous voient ?

L’ange dit : « tu peux réveiller Billy. »
Je n’y suis pour rien, ni quelqu’un d’autre, mais quel privilège !
Frère Branham dit : « Tu sais où se trouve le lavabo dans la pièce ? »
  • Oui.
  • Papa enlève cet oreiller de devant tes yeux, regarde dans cette pièce, vers ce coin, cet ange se tiendra là.
Je témoigne pour vous ce soir, en Arizona. Quand il enleva cet oreiller de devant mes yeux, dans ce coin, se tenait un homme. Je pensais que ce serait quelque chose de volant, je ne savais pas. Là, dans ce coin, se tenait un homme les bras croisés, habillé de blanc, les cheveux sur ses épaules, le teint sombre.
J’étais mort de peur, frère Werts. Je m’agrippai à mon père. Je ne pourrai jamais l’oublier.
  • Billy, il ne veut pas te blesser. Il est envoyé de la présence du Dieu Tout-Puissant.
Il se tenait là comme ça. Il se transforma en brouillard, en lumière et sortit de la pièce. Et un arc-en-ciel entra et resta dans cette pièce pendant des heures.
Je demandai à papa « Pourquoi cela est-il arrivé ? »
  • Parce que Dieu t’a appelé à travailler avec moi, Billy. Cela ne fait pas de moi un grand homme, mais quel privilège ! Peu importe si j’étais en Afrique, en Inde, peu importe où j’étais, je pourrais dire quand l’ange était là. Alors, tout ce que vous avez à faire est de vous humilier. Humiliez-vous. Parlez de notre Seigneur Jésus et Il s’approchera. Car Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours.

J’ai vu des jambes s’allonger

Je l’ai dit à quelqu’un l’autre jour. Je ne peux m’habituer à cela. J’ai vu des jambes, elles portaient de ces vieilles petites chaussures. Je ne sais pas si on en fabrique encore de ces chaussures de bois à peu près de cette taille. Une jambe était beaucoup plus courte que l’autre.
Il allait vers eux, priait pour eux, plaçait là une petite chaise. Il prenait une jambe, la tenait ; cette jambe était beaucoup plus courte que l’autre. Il s’approchait tout simplement, prenait cette jambe et la tendait comme ceci. Et il disait : « croyez-vous ? »
  • Oui
  • Au nom de Jésus, que cette jambe s’allonge.

Alors les jambes étaient parfaites !
Les enfants qui louchent guéris

J’ai vu apporter sur l’estrade des petits bébés qui louchaient. J’ai toujours observé papa. Je ne sais pas si j’ai déjà raconté cela mais je sens que je vais vous le raconter ce soir. Je l’ai vu mettre ses mains comme ceci quand il priait pour cet enfant. Alors il lui prenait les mains et disait, « Sois guéri au Nom de Jésus. » 
J’ai dit, « Papa, j’ai remarqué que tu croises tes mains quand tu pries pour les enfants qui louchent. – Pourquoi fais-tu cela ?
- Je suis content que tu sois observateur Billy. Quand ta petite sœur était en train de mourir, ses petits yeux louchaient. Je n’ai pas pu le supporter, Paul. »
Il ajouta : Mais le Seigneur m’a dit que si je peux amener les gens à me croire, rien ne résistera à ma prière.  Quand je croise les bras, cela représente les yeux qui louchent.  Quand je les décroise, leurs yeux s’ouvrent correctement. 

Il savait où il se tenait

Cet après-midi, il avait une réception avec dix-sept religions différentes, les « Siclas », les « Bouddhistes », les « Gens », les « Musulmans », les « Hindous.» Tous parlaient de leurs dieux et ce qu’ils pouvaient faire. Papa se tenait là.  Ils parlaient de vaches, de sauterelles, d’abeilles, etc.
Ils adoraient tout. Papa se tenait là.
Je pensai, « Mes gars, quand mon père va se lever, il va vous arracher la peau. » J’avais seize ans. Je savais qu’il pouvait battre n’importe qui. Je savais qu’il pouvait battre le diable. Je savais que celui-ci était inquiet. Pauvre diable !
Voilà que c’était le tour de mon père. Il s’approcha. Je pensai, « Ça y est, ils vont tous comprendre. »
Frère Branham dit : « Merci Messieurs pour votre invitation en Inde. Je suis heureux de vous avoir entendu parler de vos religions différentes auxquelles vous croyez. Je vous invite ce soir… »
- Qui, Elie ?
Frère Branham ajoute, je vous invite ce soir à la réunion pour voir le Dieu que je sers, que je représente en manifestation. »
Il ne voulait pas discutailler et dire : votre religion n’est pas juste. Venez voir mon Dieu, celui que je prêche.

Je reclame chacun

En Inde, j’étais avec mon père. Je n’oublierai jamais le moment où il sortit de l’avion, frère Pearry, j’étais juste derrière lui. Je venais d’avoir seize ans.
Quand ses pieds touchèrent le sol, je n’oublierai jamais ce qu’il dit, pas à moi, mais à Son Père : « Seigneur, je réclame chacun de ceux pour lesquels tu m’as envoyé ici. »

Manger de la viande une fois par jour

Nous voyagions d’une réunion à l’autre. Il disait : « Nous n’avons pas à descendre dans les meilleurs motels.  On ne travaille pas dur. Il suffit de manger de la viande une fois par jour… un petit bol de céréales pour le petit déjeuner. Mettons les gens à l’aise. »
Il vivait le Message…  Ce que je vous montre, c’est la Vie de Jésus Christ. 

Les yeux aveugles voient !

Ce soir-là, des dizaines de milliers de gens étaient rassemblés dehors dans ce grand champ. Papa prêchait exactement ce vers quoi nous regardions : « Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui et éternellement. » 
Frère Branham dit : « Si Il est encore Dieu, si Il a toujours été Dieu, Il est encore Dieu. Si Dieu m’a envoyé comme Son Prophète, Il doit bien entendu appuyer ce que je suis venu représenter.
J’ai entretenu des conversations aujourd’hui avec ces différents frères.
Combien d’entre vous appartiennent à ces religions ? »
Des milliers de mains se levèrent.
Il dit : « Billy, va me chercher quelqu’un et amène-le ici. »
J’allai et je cherchai le pire que je pouvais trouver. Je trouvai donc le pire. Je savais que si papa priait, c’était fait de toute façon. Il y avait un homme aveugle. Je n’avais jamais vu pareille cécité ; ce n’était qu’une croûte, comme si vous prenez une allumette et que vous brûlez votre peau ; elle devient blanche. C’est comme ça qu’étaient ses globes oculaires. Je l’amenai à mon père.
Et Frère Branham dit : « Monsieur, vous n’êtes pas né aveugle. Vous êtes devenu aveugle en adorant le soleil. Vous appartenez à un de ces pasteurs qui sont ici et qui adorent le soleil. »
L’homme répondit par l’intermédiaire de l’interprète : « C’est correct. »
Et Frère Branham dit, « Aujourd’hui, j’ai parlé avec ces hommes de leurs dieux, et vous les gens ici, vous appartenez à ces dieux, ces églises. Maintenant, Messieurs, je vous ai écoutés aujourd’hui et j’ai entendu ce que vous aviez à dire. »
- Oh ! Elie, il sait exactement où il se tient, frère Earl !
Frère Branham dit, « Maintenant si n’importe lequel de vos dieux, ou même tous vos dieux, peuvent venir et rendre la vue à cet homme, j’adorerai votre dieu. »
Vous auriez pu entendre tomber une épingle de 4 étages.
Et Frère Branham dit : « Avancez-vous, je vais juste attendre une minute. » Rien ne se passa.
- « Avancez-vous, frères. Un de vos dieux ou tous vos dieux ! » Rien ne se passa. Elie savait où il se tenait.
Et Frère Branham dit : « Moi je ne puis rien, mais le Dieu que je représente, s’Il ne rend pas sa vue à cet homme maintenant, je mettrai un signe sur mon dos ‘Faux Prophète’ et vous pourrez me promener à travers Bombay. Mais si mon Dieu rend à cet homme sa vue, renoncerez-vous à ces dieux que vous servez et qui ne peuvent lui rendre la vue, et servirez-vous l’unique et le seul, le Seigneur Jésus-Christ ? » De petites mains se levèrent partout !
Il dit : « Père, je Te remercie, Tu me l’as déjà montré. Au Nom de Jésus-Christ, que ses yeux s’ouvrent ! »
Cet homme commença à crier, ramassa la Bible et commença à lire. Des dizaines de milliers de gens donnèrent leur cœur à Jésus-Christ. Pourquoi ? IL EST LE MEME, HIER, AUJOURD’HUI ET ETERNELLEMENT !

Toute une école de sourds-muets guéris

Je l’ai vu ! A Little Rock, Arkansas, l’école de sourds. Il vida l’école. Le Saint-Esprit, notre Dieu, merveilleuse grâce, vida complètement cette école de sourds-muets. Chacun d’entre eux fut guéri par la puissance de Jésus-Christ dans cette réunion.

De quelle couleur est cette cravate ?

J’ai vu une petite fille aveugle en Allemagne. Je n’oublierai jamais cela, avec 15 000 ou 18 000 personnes. Et je sais par mon père que c’est un petit bout de chou, et qu’elle est comme ceci, que ses yeux sont fermés comme ceci.
Papa dit : « Hé, chérie »
Je remarquai qu’elle n’ouvrait pas les yeux et qu’ils étaient seulement des petites choses levées comme cela !
- Je suis désolé, chérie, je suis désolé. Je ne savais pas. Tu es aveugle.
- Oui, répondit-elle par l’intermédiaire de son interprète.
- Chérie, crois-tu que Frère Branham a été envoyé ici pour prier pour toi ?
- Oui, je le crois.
- Si Frère Branham prie pour toi, crois-tu que Jésus te guérira ?
Elle secoua la tête, « Oui ».
Il saisit cette petite chose, et j’espère que je dis juste ; Personne n’était aussi humble que mon père, excepté le Seigneur Jésus.
Il l’attira à lui et dit : « Père, j’ai abandonné ma petite Rebekah pour venir ici pour prier pour celle-ci. Satan quitte cette enfant. Jésus, guéris-la. »
Cette petite chose poussa un cri. Elle saisit la cravate de mon père, la regarda et dit : « Monsieur, quelle est cette couleur ? »
- Rouge.
A ce moment-là, une femme par derrière cria. Elle arriva en courant vers l’estrade. Elle monta là où était cette petite fille. Je n’oublierai jamais cela de toute ma vie. Quand elle accourut, cette petite fille s’agrippa à cette dame. Elle commença à lui caresser les joues. Puis elle dit : « Oh ! My ! Tu es si belle ! Tu es ma mère. Je ne t’ai jamais vue mais je te connais au son de ta voix. »
Nous pourrions n’avoir jamais vu le Seigneur, mais nous connaissons le son de Sa voix !
Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

Les ambulances perdent tous leurs malades

J’étais en Afrique avec papa… J’étais avec lui et soudain, après la réunion à Durban, il y eut un grand remue-ménage et je ne savais pas ce qui se passait. Et cela inquiétait aussi papa. Il y avait des gens qui s’énervaient, qui s’agitaient, et un agent de police qui courait dans tous les sens.
Papa dit : « Va voir ce qui ne va pas. »
Il interpella un de ceux qui couraient comme ça et dit : « Qu’est-ce qui ne va pas ? »
- Rien ne va pas, Frère Branham.  Il y a dix-sept ambulances qui sont venues pour amener des gens du sanatorium, et on ne peut plus retrouver une seule personne. Elles sont toutes reparties chez elles en bonne forme avec leurs parents. »
Pourquoi ? Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement !

J’ai un bon mari

Je me souviens de Frère Branham parlant de Louise, la petite fille dans la Réserve, la petite Indienne.
Frère Pearry, papa et nous étions là avec frère Bud. Je ne sais plus comment cela se passa ni comment le cheval fut amené à Oscar, qu’il lui fut montré et où Dieu avait trouvé ce cheval, etc.
J’ai reçu une lettre d’elle l’autre jour.
Elle disait : « Frère Billy, je veux vous parler du grand mari que Dieu m’a donné. Vous vous souvenez quand vous et Frère Branham et frère Pearry êtes venus dans notre camp ?
Quand vous êtes venus, nous vous avons interpellé. Je savais que ma mère était en train de mourir. Vous et frère Branham, êtes allés prier pour elle.
De retour j’ai dit : « Frère Branham, je vais partir pour aller au collège. »
- Pourquoi donc, Louise ?
- Parce que je veux me trouver un mari.
- Tu n’as pas besoin d’aller au collège pour te trouver un mari. Reste avec ta maman et ton papa. Ils sont vieux ; aide-les et Dieu te donnera un bon mari, Louise.
- Frère Branham, je ne pense pas que ce soit possible.
- Pourquoi ?
A cause de ma vie passée.
- Fais ce que je te dis et Dieu te donnera un bon mari.
Elle disait dans sa lettre : « Frère Billy, j’ai un bon mari. Vous vous souvenez quand vous étiez à cheval et que vous partiez, je n’ai jamais oublié, votre pasteur, frère Pearry.
Il avait dit : « Frère Branham, qu’y a-t-il au sujet de la vie passée de Louise ? Qu’est-ce que cela signifie ? »
Papa a répondu : « Ce qui est sous le sang de Jésus, Il ne le montre même pas à Son Prophète. »

Brûler ce chapeau

Il y avait une fois un homme qui travaillait avec nous, deux hommes même. Quand vous avez accès à ces choses, je vais vous montrer à quel point vous devez être humble et prudent.
Papa leur avait dit : « Demain, nous irons à la pêche . » Donc, après les interviews, papa quitta l’endroit où avaient lieu les rencontres et un des hommes parla à l’autre.
Et frère Branham, alors qu’il partait, s’arrêta et dit : « Je suis désolé, je vous ai dit que j’allais vous emmener demain à la pêche. Je ne peux pas, j’ai quelque chose d’autre à faire. Nous irons une autre fois. »
Cet homme dit alors à l’autre frère : « Frère Branham ne nous emmènera pas à la pêche demain parce qu’il a autre chose à faire. »
Voilà que papa avait oublié son chapeau sur la tablette du téléphone. Comme cette histoire avait rendu cet homme furieux, il ramassa le chapeau et le jeta à travers la pièce. « C’est quelque chose, dit-il : Il vient de nous dire qu’il allait nous emmener et maintenant non. Voilà ce qu’il nous fait. »
Nous étions à mi-chemin de la maison et papa dit : « J’ai oublié mon chapeau. Veux-tu me ramener ? Nous retournâmes donc à la caravane.
L’autre homme avait ramassé le chapeau de papa et l’avait remis où il était. Papa entra et dit : « Oh, j’ai oublié mon chapeau. Merci. »
Il décrocha son chapeau. En le faisant, il regarda cet homme qui avait jeté son chapeau et dit : « Vous alliez brûler ce chapeau. »
Ne touchez pas à mes oints. Ne faites pas de mal à mes Prophètes. Soyez prudent si vous ne comprenez pas. S’il a dit quelque chose, vous feriez mieux de dire de même. Même si vous ne comprenez pas. , vous feriez mieux de le dire comme lui.

Il n’a jamais plus fumé une cigarette

Mon voisin, un excellent homme, est un des meilleurs voisins qui soit. Catholique jusqu’au fond du cœur. Il embrasserait le gros orteil du pape. Nous allons souvent à la pêche, mais il faut qu’il rentre à une certaine heure pour aller se confesser.
Je peux laisser ma maison ouverte, mon frigo ouvert, et s’il a l’intention de faire quelque chose… il va le remplir. Voilà la sorte d’homme qu’il est.
Un jour, je travaillais dehors et j’étais en nage. Cela n’arrive pas trop souvent, mais je coupais de l’herbe. Maintenant j’ai une moto-tondeuse, mais à cette époque-là nous n’en avions pas. Je n’oublierai jamais, c’était l’anniversaire de Loïs.
Il regarda par-dessus la palissade et dit : « Hé, voisin, c’est fou ! »
  • Que voulez-vous dire ?
  • Nous sommes en nage et nous continuons comme ça, et ceux-là, là-bas, pêchent au lac. Allons au lac. Echappons-nous et allons au bateau.
  • Epatant !
« Oh ! mais c’est l’anniversaire de Loïs, pensai-je.
Je me faufilai à l’intérieur, et elle me dit :
« Comment ça va ? »
  • « Je ne suis pas très bien. »
Et elle dit : « Nous n’allons pas pouvoir sortir pour dîner, ce soir. »
  • Pourquoi ?
  • J’ai mal à la tête, et je n’ai pas envie. Nous irons demain.
Je m’habillai donc et me versai du café, alors qu’il allait chez Sawyer pour chercher des vairons.
Et quand il revint, il dit : « hé, voisin, je ne peux pas prendre mon bateau ce soir. Il a un trou à l’avant. Je l’avais oublié, Billy. C’est O.K. si nous prenons votre bateau ? »
  • Oui, bien sûr, Bob
  • Je pensai : oh fichtre, il fume. Ce n’est pas mon bateau, c’est le bateau de papa. Qu’est-ce que je vais faire ?
J’allai donc téléphoner à Joe. « Hé, Bub. »
  • Oui.
  • -« Dois-je travailler ce soir ? » J’étais en train d’essayer de me défiler, vous savez.
  • Non, pourquoi ?
  • Eh bien, Bob veut aller pêcher et je lui ai dit que j’y allais, mais il a un trou dans son bateau. Je ne sais pas quoi faire. Je ne peux pas le laisser fumer dans le bateau de papa.
  • Va lui dire qu’il ne peut pas fumer.
  • Il ne comprendra pas, Joe. Il est catholique.
  • Il comprendra.
  • Non je ne peux pas faire ça.
  • Alors qu’il fume !
  • Joe ! Tu sais que je ne peux pas le laisser fumer dans le bateau de papa.
Il dit : « soit tu le laisses fumer dans le bateau, soit tu le lui dis, mais tu ne travailles pas ce soir. »
Mon excuse tombait à l’eau. J’allai donc lui dire :
  • Bob, je suis désolé.
  • Pourquoi ?
  • Vous connaissez mon père, je vous en ai parlé.
  • Oui.
  • Bob, il ne laisse personne fumer dans sa voiture, ni dans son bateau. Par égard pour cela, nous irons une autre fois quand vous aurez le vôtre. Et j’ajoutai « je sais que probablement vous ne comprenez pas cela. »
Il avait dans sa poche ce paquet de cigarettes, je n’oublierai jamais cela. Il dit : « est-ce cela toute la difficulté, Billy ? »
  • Oui.
Le nom de sa femme est Mary Lou. Il y a longtemps que  Mary Lou voulait se débarrasser de moi ; j’allais juste les quitter quand il dit « allons pêcher. Je ne fumerai pas dans votre bateau. »
Nous allâmes donc pêcher ce soir-là.
Environ deux mois plus tard, il me dit : « vous savez quoi, Billy ? »
  • Quoi donc ?
  • Je n’ai plus fumé depuis. »
Il est encore le Même, Hier, Aujourd’hui et Eternellement.

S’il l’a dit, vous aurez le bébé

Une petite dame était venue vers papa sur l’estrade. J’essayais de trouver les cas les pires, vous savez. J’avais donné à cette dame une carte de prière et elle se tenait devant papa…
Nous arrivions dans la ligne de prière comme ceci. Comme il se tenait devant elle, il la regarda et dit : « il n’y a rien qui ne va pas en vous, sœur. »
Billy Paul pensa : « oh là là, quand je rentre à la maison, il va m’attraper ! Donner une carte de prière à quelqu’un qui n’a rien.
La dame dit : « Non, Frère Branham, il n’y a rien qui ne va pas avec moi. J’ai dit à votre fils que j’étais malade parce que je voulais me trouver devant vous. »
  • Pourquoi cela, sœur ?
  • Je suis venue devant vous il y a environ un an. Je voulais un bébé. J’étais stérile. Je voulais un enfant. Vous avez prié pour moi et vous avez dit : « Ainsi dit le Seigneur, vous aurez un enfant. »
Je suis rentrée chez moi. Je l’ai dit à mon mari. Je l’ai dit à mon pasteur.
Ils m’ont répondu : « Vous êtes folle. Vous ne pouvez pas avoir d’enfant. Le docteur vous l’a dit. »
Elle dit : « Mais Frère Branham a dit que je l’aurai. Elle ajouta « je commençais à douter de votre parole. Dans toute cette histoire, je n’ai pas eu de bébé. »
Frère Branham dit : « sœur, c’est merveilleux ! »
Elle dit : « je viens vous faire des excuses, je suis désolée. »
Papa dit : « c’est merveilleux. J’apprécie cela. Mais je n’y peux rien. Qu’est-ce que LUI a dit ? »
Elle répondit : Il a dit, « Ainsi dit le Seigneur, j’aurai le bébé. »
Papa répondit : « Je ne tiens pas compte de ce que dit votre mari, ni de ce que dit votre pasteur, ni de ce que dit votre famille. Je ne fais pas cas ce que dit votre docteur ; si LUI l’a dit, vous aurez le bébé. »
Neuf mois plus tard, elle nous envoya une photo du garçon.
Il est le même, hier, aujourd’hui et éternellement.


13/12/2012
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